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Rapidement,
les 22200 vainquent les frontières électriques, et enlèvent
de nombreux trains Nord-Sud.
Certaines locomotives sont alors munies d'un couple 100, ce qui leur permet de
décoller des trains très lourds.
Les BB 22200 enlèvent une partie des rapides sur le Nord et le Sud-Est.
L'arrivée du TGV Sud-Est fait baisser leur activité, et
une partie du parc part au dépôt de Rennes, pour assurer
la desserte de la Bretagne, fraîchement électrifiée
en 25 kV du Mans vers Nantes et Rennes, puis Brest et Quimper. En 1984,
les 22351 à 22360 sont autorisées à 200 km/h pour
Paris-Nantes. Les 22200 sont déséquipées de leurs
couples 100, qui seront réutilisés sur les 7200.
Les 22351 et 22532 sont pourvues de la TVM 430, et effectuent des tournées
d'auscultation sur LGV. Les 22379 et 80 deviennent les prototypes 20011
et 12, pour tester des moteurs synchrones autopilotés, qui équiperont
un peu plus tard les Sybics. Ces engins seront remis au type en 1993.
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